Livre des Psaumes commenté verset par verset

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Psaume hébreu N°41

(Psaume N°40 dans la Vulgate)

1 Au maître de chant, psaume de David. 2 Heureux celui qui prend souci du pauvre. Au jour du malheur, le Seigneur le délivrera. 3 Le Seigneur le gardera et le fera vivre, il sera heureux sur la terre et tu ne le livreras pas au désir de ses ennemis. 4 Le Seigneur l’assistera sur son lit de douleur, si malade qu’il soit tu le relèves. Dieu change son lit de douleur, toutes les fois qu’il est malade, en joie (Augustin). 5 Moi, je dis : « Seigneur, aie pitié de moi. Guéris mon âme car j’ai péché contre toi. » Le Chantre sacré va maintenant parler de ses propres souffrances, par lesquelles il entend peut-être quelque maladie ; et il fait voir qu’il n’a pas rencontré cette compassion que Dieu comble de ses bénédictions. 6 Et mes ennemis profèrent contre moi des malédictions : « Quand mourra-t-il ? Quand périra son nom ? » Lorsque j’étais dans le malheur, et que je me plaignais à Dieu de mon état de misère, je n’ai reçu de la part de mes proches, au lieu de marques de compassion, que des marques d’une joie maligne. 7 Si quelqu’un vient me visiter, il ne profère que mensonges ; son cœur recueille l’iniquité ; quand il s’en va, il parle au dehors. Il cherche ce qu’il pourrait augurer de mal de mes souffrances, pour le divulguer au-dehors. 8 Tous mes ennemis chuchotent ensemble contre moi, contre moi ils méditent le malheur. 9 « Un mal irrémédiable, disent-ils, a fondu sur lui ; le voilà couché, il ne se relèvera plus. » 10 Même l’homme qui était mon ami, qui avait ma confiance et qui mangeait mon pain, lève le talon contre moi. Jésus-Christ fait au traître Judas l’application de ces paroles (Jean 13, 18). Voyez aussi Act. 4, 16. La vie de David fut un type prophétique de la vie de Jésus Christ. C’est pourquoi les sentiments, les destinées et les souffrances de Jésus-Christ ont un rapport d’analogie avec celles du pieux monarque ; et Jésus-Christ pouvait faire remarquer ses destinées dans l’histoire de David. 11 Toi, Seigneur, aie pitié de moi et relève-moi et je leur rendrai ce qu’ils méritent. Ce n’est pas là l’expression d’un désir de vengeance. David devait considérer comme un devoir de la royauté de châtier, de manière à inspirer de la terreur, les ennemis du roi, comme étant les ennemis de Dieu. On voit, par la conduite qu’il tint à l’égard de Séméï (2 Samuel 16), combien David était éloigné des désirs de vengeance. 12 Je connaîtrai que tu m’aimes, si mon ennemi ne triomphe pas de moi. 13 A cause de mon innocence, tu m’as soutenu et tu m’as établi pour toujours en ta présence. 14 Béni soit le Seigneur, le Dieu d’Israël, dans les siècles des siècles. Amen. Amen.

Psaume hébreu N°42

(Psaume N°41 dans la Vulgate)

1 Au maître de chant. Cantique des fils de Coré. Psaume didactique, pour être exécuté sous la direction des enfants de Coré. Les descendants du lévite Coré étaient chantres (voir Nombres 16, 26 ; 1Chroniques 9, 22. 2 et 20, 19). C’est le sentiment commun des exégètes que David composa ce Psaume durant sa fuite devant Absalon, dans un moment où loin du saint tabernacle, il était vivement pressé par ses ennemis.  2 Comme le cerf soupire après les sources d’eau ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu. 3 Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant, quand irai-je et paraîtrai-je devant la face de Dieu ? 4 Mes larmes sont ma nourriture jour et nuit, pendant qu’on me dit sans cesse : « Où est ton Dieu ? » Les ennemis de David lui disaient par dérision : Où est votre Dieu ? Qu’il récompense mal votre piété ! Est-ce qu’il ne peut, ou qu’il ne veut pas vous secourir ? 5 Je me rappelle et à ce souvenir mon âme se fond en moi par la douleur de me voir éloigné de la maison de Dieu, quand je marchais entouré de la foule et que je m’avançais vers la maison de Dieu, au milieu des cris de joie et des actions de grâces d’une multitude en fête. 6 Pourquoi es-tu abattue ô mon âme et t’agites-tu en moi ? Espère en Dieu car je le louerai encore, lui, mon sauveur et mon Dieu. David s’affermit lui-même dans la confiance, et il conçoit l’espérance certaine qu’il sera secouru. Comp. 2 Samuel 15, 25. 7 Mon âme est abattue au dedans de moi aussi je pense à toi, du pays du Jourdain, de l’Hermon, de la montagne de Misar. Depuis la terre du Jourdain où il s’était réfugié en fuyant devant Absalon (Voir 2 Samuel 17, 22). Le chrétien, dans sa prière, doit penser à la terre du péché et de la misère, qu’il est dans l’impatience de quitter. 8 Un flot en appelle un autre quand grondent tes cataractes : ainsi toutes tes vagues et tes torrents passent sur moi. Une infortune succède à une autre lorsque vous faites éclater vos jugements. 9 Le jour, le Seigneur commandait à sa grâce de me visiter. La nuit, son cantique était sur mes lèvres, j’adressais une prière au Dieu de ma vie. Lorsque j’étais encore dans le bonheur, le Seigneur, durant le jour, me faisait éprouver sa miséricorde, et me comblait de ses bienfaits, en sorte que c’était pour moi un devoir de le louer pendant la nuit. 10 Maintenant je dis à Dieu mon rocher : « Pourquoi m’oublies-tu ? Pourquoi me faut-il marcher dans la tristesse sous l’oppression de l’ennemi ? » Maintenant, durant le temps de la vie présente, où mes ennemis me pressent, je me vois contraint d’adresser mes plaintes à Dieu. 11 Je sens mes os se briser quand mes persécuteurs m’insultent, en me disant sans cesse : « Où est ton Dieu ? » 12 Pourquoi es-tu abattue, ô mon âme et t’agites-tu en moi ? Espère en Dieu car je le louerai encore, lui, mon sauveur et mon Dieu. David se ranime lui-même, et reprend confiance.

Psaume hébreu N°43

(Psaume N°42 dans la Vulgate)

1 Rends-moi justice, ô Dieu, défends ma cause contre une nation infidèle délivre-moi de l’homme de fraude et d’iniquité Ce Psaume paraît être la continuation du précédent, comme on le voit au v. 5. Le suppliant prie Dieu de le délivrer de ses ennemis, et de faire qu’il retourne à Jérusalem auprès du saint tabernacle. Le chrétien en prière peut, en récitant ce Psaume, se souvenir de la séparation du monde, des ennemis du salut de son âme, et de son admission dans l’assemblée des justes. 2 Car tu es le Dieu de ma défense, pourquoi me repousses-tu ? Pourquoi me faut-il marcher dans la tristesse sous l’oppression de l’ennemi ? 3 Envoie ta lumière et ta fidélité qu’elles me guident, qu’elles me conduisent à ta montagne sainte et à tes tabernacles. sur Sion à Jérusalem, où était le tabernacle. Dans un sens plus relevé, dans l’Église, sur la montagne de la perfection. 4 J’irai à l’autel de Dieu, au Dieu qui est ma joie et mon allégresse et je te célébrerai sur la harpe, ô Dieu, mon Dieu. 5 Pourquoi es-tu abattue, ô mon âme et t’agites-tu en moi ? Espère en Dieu, car je le louerai encore, lui, mon sauveur et mon Dieu. L’Église met les paroles de ce psaume dans la bouche des prêtres, avant qu’ils montent à l’autel. En les répétant, les prêtres se mettent à la place de David, et ils se considèrent, de même que lui, comme bannis du sanctuaire à cause de leurs péchés ; ils demandent à Dieu de les délivrer de la corruption commune, de leur accorder sa lumière et sa grâce, afin qu’ils puissent gravir la montagne de la perfection, et enfin ils s’exhortent eux-mêmes, et avec eux ils exhortent tous les fidèles à avoir confiance en Dieu, qui est assez puissant pour les tirer de la corruption et de leur état de misère.

Psaume hébreu N°44

(Psaume N°43 dans la Vulgate)

1 Au maître de chant, des fils de Coré. Cantique. Ce psaume est la prière d’un cœur pieux demandant des secours après quelque grande défaite que le peuple élu avait essuyée de la part des ennemis de sa religion. A peine serait-il possible de savoir quelle est cette défaite, et ce serait également sans raison suffisante qu’on inférerait de la circonstance (v. 23), que la guerre dont il s’agit était une guerre de religion, parce que la cause du peuple d’Israël étant la cause de Dieu, les Israélites aimaient à considérer leurs guerres avec les nations du point de vue religieux. Peut-être fut-ce après le combat malheureux de Saül contre les Philistins (1 Samuel 31), que David composa ce psaume. Il convient du reste très-bien dans la bouche de ceux qui souffrent persécution pour la religion. 2 Ô Dieu, nous avons entendu de nos oreilles, nos pères nous ont raconté l’œuvre que tu as accomplie de leur temps, aux jours anciens. 3 De ta main tu as chassé des nations pour les établir, tu as frappé des peuples pour les étendre 4 car ce n’est pas avec leur épée qu’ils ont conquis le pays, ce n’est pas leur bras qui leur a donné la victoire mais c’est ta droite, c’est ton bras, c’est la lumière de ton visage, parce que tu les aimais. La lumière de la face de Dieu est sa grâce (Voir Jos. 2, 9). 5 C’est toi qui es mon roi, ô Dieu, ordonne le salut de Jacob. Faites, par vos ordres, que le salut soit en toute occasion le partage de Jacob. 6 Par toi nous renverserons nos ennemis, en ton nom nous écraserons nos adversaires. 7 Car ce n’est pas en mon arc que j’ai confiance, ce n’est pas mon épée qui me sauvera. 8 Mais c’est toi qui nous délivres de nos ennemis et qui confonds ceux qui nous haïssent. Tels doivent être aussi, dit saint Chrysostome, nos sentiments par rapport aux ennemis de notre salut : nous devons mettre notre confiance, non dans nos armes, c’est-à-dire en nos forces ou en notre justice, mais uniquement en la miséricorde de Dieu. 9 En Dieu nous nous glorifions chaque jour et nous célébrons ton nom à jamais. Séla. 10 Cependant tu nous repousses et nous couvres de honte, tu ne sors plus avec nos armées. 11 Tu nous fais reculer devant l’ennemi et ceux qui nous haïssent nous dépouillent. 12 Tu nous livres comme des brebis destinées à la boucherie, tu nous disperses parmi les nations. 13 Tu vends ton peuple à vil prix, tu ne l’estimes pas à une grande valeur. Vous avez permis que nous fussions donnés en présents comme esclaves, ou vendus à vil prix. 14 Tu fais de nous un objet d’opprobre pour nos voisins, de moquerie et de risée pour ceux qui nous entourent. 15 Tu nous rends la fable des nations et un sujet de hochements de tête parmi les peuples. 16 Ma honte est toujours devant mes yeux et la confusion couvre mon visage, 17 à la voix de celui qui m’insulte et m’outrage, à la vue de l’ennemi et de celui qui respire la vengeance. 18 Tout cela nous arrive sans que nous t’ayons oublié, sans que nous ayons été infidèles à ton alliance. 19 Notre cœur ne s’est pas détourné en arrière, nos pas ne se sont pas écartés de ton sentier, 20 pour que tu nous écrases dans la retraite des chacals et que tu nous couvres de l’ombre de la mort. 21 Si nous avions oublié le nom de notre Dieu et tendu les mains vers un dieu étranger, 22 Dieu ne l’aurait-il pas aperçu, lui qui connaît les secrets du cœur ? Voir Rom. 8, 36. Saint Paul cite ce passage à l’occasion des persécutions que les premiers chrétiens avaient à souffrir. Sens : bien loin d’avoir oublié Dieu, nous nous sacrifions nous-mêmes pour lui, pour sa religion. 23 Mais c’est à cause de toi, qu’on nous égorge tous les jours, qu’on nous traite comme des brebis destinées à la boucherie. 24 Réveille-toi. Pourquoi dors-tu, Seigneur ? Réveille-toi et ne nous repousse pas à jamais. 25 Pourquoi caches-tu ton visage, oublies-tu notre misère et notre oppression ? 26 Car notre âme est affaissée jusqu’à la poussière, notre corps est attaché à la terre. Nous sommes entièrement abattus et courbés sous le joug. 27 Lève-toi pour nous secourir, délivre-nous à cause de ta bonté.

Psaume hébreu N°45

Psaume N°44 dans la Vulgate)

1 Au maître de chant, sur les lis. Cantique des fils de Coré, chant d’amour. 2 De mon cœur jaillit un beau chant, je dis : « Mon œuvre est pour un roi ». Ma langue est comme le roseau rapide du scribe. 3 Tu es le plus beau des fils de l’homme, la grâce est répandue sur tes lèvres c’est pourquoi Dieu t’a béni pour toujours. Celui auquel le Chantre sacré s’adresse dans ce psaume est un roi dont il célèbre la gloire et la majesté ; il passe ensuite à la reine, il trace le tableau de la magnificence dans laquelle elle est amenée au roi, et il termine par les descendants du monarque, qui domineront sur toute la terre. Le roi dont il s’agit est le Messie ; c’est ce qu’ont reconnu même les anciens juifs. Mais ce qui le confirme surtout, c’est le témoignage de la lettre aux Hébreux, 1, 8-9, où la supériorité du Messie sur les anges est approuvée par ce psaume ; c’est enfin la teneur même du psaume, qui attribue au roi qui y est célébré des qualités qui ne peuvent convenir à aucun roi de la terre. 4 Ceins ton épée sur ta cuisse, ô héros. Revêts ta splendeur et ta majesté. L’épée est la parole de Dieu (Éphésiens 6, 17), qui sort de la bouche de Jésus-Christ (Apocalypse 19, 15). 5 Et dans ta majesté avance-toi, monte sur ton char, combats pour la vérité, la douceur et la justice et que ta droite te fasse accomplir des faits merveilleux. En effet, le règne de Jésus-Christ est le règne de la vérité et de la vertu, non du glaive et de la violence (Voir Isaïe 11, 5). 6 Tes flèches sont aiguës, des peuples tomberont à tes pieds, elles perceront le cœur des ennemis du roi. Les flèches de la grâce. Ce fut une flèche de cette nature qui perça saint Paul, qui d’ennemi furieux devint l’ami du Roi (Chrysostome). 7 Ton trône, ô Dieu, est établi pour toujours, le sceptre de ta royauté est un sceptre de droiture. Saint Paul (Hébreux 1, 8-9) infère de ce verset, où le Messie est appelé Dieu, la supériorité de Jésus-Christ sur les anges. 8 Tu aimes la justice et tu hais l’iniquité : c’est pourquoi Dieu, ton Dieu, t’a oint d’une huile d’allégresse, de préférence à tes compagnons. D’une manière plus excellente que tous vos fidèles, que les amis qui vous accompagnent dans vos noces (Matthieu 25, 1. Jean 3, 29-34). De même que le Roi est appelé Christ, c’est-à-dire Oint, de même tous ses fidèles sont appelés chrétiens, c’est-à-dire oints : tous sont oints de la grâce ; mais Lui, qui est le chef de l’Église, l’est d’une manière plus excellente qu’eux. 9 La myrrhe, l’aloès et la cannelle s’exhalent de tous tes vêtements, des palais d’ivoire, les lyres te réjouissent. Parfums précieux d’Orient, symboles des bonnes œuvres. Les exégètes expliquent les vêtements de la nature humaine de Jésus-Christ, qui est sortie des entrailles d’ivoire, c’est-à-dire très-pures et très-nobles de la très-sainte Vierge. Dans les litanies que l’Église récite en son honneur, Marie est invoquée sous le titre de tour d’ivoire.  10 Des filles de rois sont parmi tes bien-aimées la reine est à ta droite, parée de l’or d’Ophir. L’Épouse, l’Église de Jésus Christ formée des nations ; dans le sens restreint chaque âme sainte, parce qu’on peut dire de chaque membre vivant de l’Église ce qui est marqué de l’Église entière. 11 « Écoute, ma fille, regarde et prête l’oreille : oublie ton peuple et la maison de ton père, Le Chantre sacré adresse la parole à l’Église, et en même temps à chaque âme fidèle. 12 et le roi sera épris de ta beauté car il est ton Seigneur : rends-lui tes hommages. Le mot hébreu rendu par Seigneur est Adonaï ; il signifie Maître, Seigneur, et, par extension, mari, Dieu : parce que Dieu était tout cela par rapport au peuple juif. 13 La fille de Tyr, avec des présents et les plus riches du peuple rechercheront ta faveur. » Les peuples, les princes et les rois les plus opulents offriront des présents, et demanderont non-seulement ses faveurs au Roi, mais encore à son Épouse, à l’Église. Les exégètes expliquent ceci des trésors de grâces dont l’Église est dépositaire, et auxquelles les fidèles demandent à participer. 14 Toute resplendissante est la fille du roi, dans l’intérieur son vêtement est fait de tissus d’or. La beauté de l’Épouse de Jésus-Christ est la beauté intérieure de son cœur (1 Pierre 3, 3-4. Éphésiens 5, 21). C’est pourquoi il dit des vrais chrétiens qu’au dehors il semble qu’ils soient les derniers des hommes, mais qu’au dedans ils sont les épouses les plus glorieuses, la couronne, l’ornement qui est surtout agréable à Jésus-Christ. 15 En robe de couleurs variées, elle est présentée au roi après elles, des jeunes filles ses compagnes, te sont amenées. Les peuples entreront les uns après les autres dans l’Église de Jésus-Christ. 16 On les introduit au milieu des réjouissances et de l’allégresse, elles entrent dans le palais du Roi. 17 Tes enfants prendront la place de tes pères tu les établiras princes sur toute la terre. Des enfants vous naîtront au lieu des patriarches, c’est-à-dire vous aurez des enfants semblables aux patriarches, ayant les mêmes prérogatives qu’eux. Par ces enfants les exégètes entendent les Apôtres et les disciples, qui furent les premiers fruits de la mission divine de Jésus-Christ. Comp. Isaïe 8, 18. 18 Je rappellerai ton nom dans tous les âges et les peuples te loueront éternellement et à jamais. C’est le Psalmiste qui parle. 

Bible de Rome
Bible de Rome
La Bible de Rome réunit la traduction révisée 2023 de l’abbé A. Crampon, les introductions et commentaires détaillés de l’abbé Louis-Claude Fillion sur les Évangiles, les commentaires des Psaumes par l’abbé Joseph-Franz von Allioli, ainsi que les notes explicatives de l’abbé Fulcran Vigouroux sur les autres livres bibliques, tous actualisés par Alexis Maillard.

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